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À propos de TIC_BES_FR_FélixAntoineLachance

Étudiant au Bac en enseignement secondaire

Les TIC au service de l’amélioration du français : Diigo

Qu’est-ce que c’est?

Diigo est un outil qui vous permettra de prendre des notes directement sur le web. En effet, grâce à ses nombreuses applications, vous pouvez maintenant surligner directement sur le web, laisser vos commentaires personnels, ajouter des «sticky notes» (l’équivalent des fameux post-it) et bien plus encore! Par ailleurs, il est maintenant disponible sur les téléphones intelligents et le Ipad!

Diigo, c’est ICI.

Quelle utilisation en classe?

1. Lectures obligatoires, facultatives, intéressantes, etc.

Si vous donnez des lectures à faire en ligne à vos élèves, vous pouvez leur donner comme consigne de les annoter et de les commenter. Puisque chaque personne peut choisir de rendre ses commentaires publiques ou de les garder en privé, il est facile d’organiser le tout pour que chacun ait fait sa part du travail. Vous pourrez par la suite revenir là-dessus en classe pour continuer l’activité.

2. Ouvrages de références, outils, etc.

Diigo offre un service de «bookmarking», c’est-à-dire qu’à l’image de Delicious, vous pouvez garder un répertoire de liens pratiques. Ainsi, vous pouvez retrouver facilement toutes les pages que vous trouvez pertinents! Par ailleurs, puisque cela est fait en commun sur le web, vous pouvez faire une recherche par mot clé pour trouver les sites que les autres utilisateurs ont identifié.

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Bien chercher sur le web et critiquer l’information qu’on y trouve

Afin de vous aider à vous retrouver sur le web, nous avons créé une liste de site pertinents à aller consulter. Nous les avons regroupés dans les deux cartes conceptuelles que voici :

Comment chercher sur le web :

http://cmap.ulaval.ca/rid=1JB2BR0QD-8Z7WV1-2K8/Carte%20www.cmap

Critiquer l’information :

http://cmap.ulaval.ca/rid=1JBRF4HWS-12RHXZT-1HK/Critiquer.cmap

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Les enjeux, les promesses et les limites de l’usage des TIC dans l’enseignement

Les enjeux

L’utilisation des TIC est au cœur d’un débat politique et éthique qui fait couler beaucoup d’encre. En effet, l’annonce du gouvernement du Québec d’investir une somme très importante pour l’achat de tableaux interactifs est loin de faire l’unanimité. Or, nous croyons que si les enseignants ont une formation complète pour qu’ils puissent comprendre et utiliser à son plein potentiel cette nouvelle technologie, l’impact sur le rendement des élèves pourrait être très important. C’est grâce à ce genre d’initiatives que le Québec pourra s’établir comme un leader dans ce domaine. Par ailleurs, l’intégration des TIC est l’un des enjeux les plus discutés lors de la formation des futurs enseignants de français. Dans un souci de s’engager dans l’air de modernité du 21e siècle, l’utilisation des nouvelles technologies est donc capitale. Afin de garder les élèves intéressés, les enseignants doivent utiliser des thématiques qui rejoignent leurs intérêts.  C’est dans cette optique que nous avons décidé de créer ce blogue. Ici, la participation de plusieurs intervenants est primordiale afin d’offrir un contenu varié et facilement accessible à tous les enseignants qui veulent intégrer les nouvelles technologies à leur cours.

Les blogues sont, en soi, un exemple parfait de l’idéologie à l’origine du Web 2.0. Ils sont une source d’information quasi infinie, créée en commun et destinée à la divulgation de connaissances de tout genre. Pour l’usage en classe, ils sont un premier pas facile; un aperçu représentatif de l’immensité de possibilités que représente le Web.

Les promesses

L’accessibilité à la ressource infinie qu’est Internet est, selon nous, l’aspect le plus important et le plus pertinent de l’usage des TIC dans les classes. Dans notre blogue, nous ne vous présentons qu’une bribe de tout ce qu’il peut y avoir d’intéressant. Par ailleurs, si l’on montre aux élèves comment être autonomes, comment être eux-mêmes des artisans de leurs connaissances, cela ne peut qu’être bénéfique.

Nous avons décidé d’utiliser un blogue, d’abord pour en montrer l’utilité. En effet, ce journal virtuel est simple d’utilisation, gratuit, dynamique et accessible. Il permet l’expression personnelle, le partage, la réflexion et l’enrichissement, le débat, la mise en commun et le développement des compétences langagières. Pour l’enseignant lui-même, utiliser un blogue permet de regrouper des ressources sur sa discipline, réfléchir sur sa pratique professionnelle, fournir des informations sur son cours, rester en contact avec ses collègues et élèves, prolonger le travail fait en classe, partager des activités pédagogiques, etc. Il permet aussi, comme c’est le cas de notre blogue, de conseiller les autres et de partager des trucs. Pour une classe, le blogue permet de tenir un journal de ce qui a été fait, de réaliser un projet, de communiquer. L’élève peut utiliser le blogue pour évaluer son travail ou faire ses devoirs, en plus de se tenir au courant, de communiquer, de partager et de développer ses connaissances. Pour toutes ces raisons, nous avons trouvé pertinent d’utiliser le blogue comme support pour notre travail.

Les limites

Bien sûr, bien que la réalité d’aujourd’hui témoigne d’un intérêt toujours grandissant pour la technologie et l’informatique, l’école semble avoir de la difficulté à suivre le rythme. Plusieurs enseignants se heurtent donc aux limites technologiques de leur école (manque d’ordinateurs, pas d’accès à Internet, etc.). Mais ce n’est pas le seul obstacle à l’intégration des TIC qu’ils rencontreront. Pour être en mesure d’expliquer correctement aux élèves comment utiliser une technologie avec laquelle ils ne sont pas familiers, il faut avoir soi-même une connaissance assez vaste de ces dernières et se tenir continuellement à jour, ce qui représente un défi de taille pour plusieurs enseignants. Par ailleurs, les TIC un changement dans les pratiques de l’enseignant, ce que plusieurs refusent catégoriquement. De plus, cela demande plus de surveillance de la part de l’enseignant : la ressource informatique peut vite devenir une source de distraction pour les élèves.

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Les TIC au service de l’amélioration du français : les cartes conceptuelles

Qu’est-ce que c’est?

Les cartes conceptuelles sont des outils utilisés pour schématiser, organiser des éléments afin d’en faciliter la compréhension générale. On peut notamment s’en servir pour synthétiser un exposé oral, par exemple, ou bien résumer un livre ou réviser des notions plus complexes. Bref, puisque la majorité des élèves ont besoin de support visuel pour bien comprendre, les cartes conceptuelles deviennent une ressource graphique plus qu’intéressante! Pour plus d’informations, nous vous envoyons vers ce site qui explique le tout plus en détails : http://www.petillant.com/article48.html

Si vous voulez en savoir plus sur le potentiel pédagogique des cartes conceptuelles, l’article suivant est des plus pertinents : http://www.profetic.org/dossiers/article.php3?id_article=945

Pour une approche plus théorique et détaillée : http://sites.estvideo.net/gfritsch/doc/rezo-cfa-410.htm

Comment l’intégrer en classe?

Si vous venez d’aborder une notion complexe, faire une carte afin de la résumer est tout à fait indiqué! Ainsi, tous les élèves pourront participer à sa création en ajoutant les éléments clés dont ils se souviennent. Les cartes conceptuelles sont parfaites pour parler de champs lexicaux: vous mettez un mot comme concept central puis vous faites des liens vers ses déclinaisons. Vous pouvez ensuite décliner chacun des mots obtenus, ce qui donnera un arbre conceptuel. Vous pouvez aussi utiliser cet outil pour parler des niveaux syntaxiques d’une phrase. En vous servant des liens et d’un code de couleurs, ce sera très visuel et  plus intéressant pour vos élèves.

Comment en faire?

Il existe plusieurs logiciels pour créer des cartes conceptuelles. Nous vous en présentons un qui a l’avantage d’être offert en français et entièrement gratuitement. Vous pouvez télécharger Cmap Tools à l’adresse suivant : http://cmap.ihmc.us/download/

Une fois le logiciel installé, vous pouvez commencer votre projet.

Première étape : Afin de vous assurer de ne rien perdre, la création d’un dossier de sauvegarde est primordial. Nous vous conseillons d’en créer un par projet, ainsi, vous vous retrouverez beaucoup plus facilement. Par ailleurs, ce dossier est crucial pour que les liens web que vous créerez plus tard soit efficaces (voir étape 5).

Deuxième étape : Vous êtes maintenant prêt à commencer votre projet. Double-cliquez à l’endroit voulu. Vous verrez appaitre une petite boite dans laquelle vous pourrez écrire le thème central de votre carte. Vous aurez sans doute également aperçu une boite d’outils apparaitre. Cette dernière vous permet de modifier la police, le style et la couleur utilisée. Puisqu’il s’agit de votre concept central, nous vous conseillons de grossir la police et d’utiliser une couleur voyante.

Troisième étape :  Il faut maintenant créer la «toile d’araignée» qui composera votre carte. Cliquez sur votre concept. Vous devriez voir apparaitre une flèche au-dessus. Cliquez sur cette flèche et étirez-là jusqu’à l’endroit voulu. Vous venez ainsi de créer votre premier lien.

Quatrième étape : Lorsque vous avez crée ce lien, la flèche a été coupée par un encadré dans lequel figurent quatre points d’interrogation (?).  Double-cliquez sur ces points pour pouvoir décrire le lien qui rattache vos deux encadrés. Par exemple, si votre concept central est LA POÉSIE, et que votre premier lien mène à une boite intitulée Émile Nelligan, vous pourriez remplacer les quatre points d’interrogation par «qui». Ce sont ces petits mots-clés qui permettent de rendre votre carte compréhensible, ils sont donc essentiels. Toutefois, si vous voulez ne pas en mettre, il vous suffi, lorsque vous cliquez sur les flèches pour créer votre lien, d’appuyer sur «Shift» (dans l’image, le lien vers «poésie française» n’a pas de mot-clé).

Cinquième étape : Vous pouvez maintenant ajouter autant de liens que vous voulez en répétant les étapes 3 et 4. Une fois que vous avez terminé, vous pouvez ajouter des liens Internet à chacun de vos concepts. Par exemple, si vous avez trouvé un site pertinent sur la vie d’Émile Nelligan et que vous voulez le partager, rien de plus simple! Copiez l’adresse du site en question. Ensuite, fait un clique-droit sur votre encadré intitulé «Émile Nelligan». Choisissez l’option «Ajouter une adresse web». Nommez votre site web (exemple : Biographie) puis collez l’adresse du site dans l’encadré «adresse web». Cliquez sur «ok» et le tour est joué! Vous verrez apparaitre un petit icône sur votre carte vous indiquant que vous avez bien mis le lien.

Voilà ! Vous avez tous les outils nécessaires afin d’émerveiller vos élèves !

Chercher le web et critiquer l’information

Les cartes conceptuelles permettent de trouver de l’information et de la conceptualiser. Elle peut nous mener à des liens contenant de nombreuses informations. De plus, comme n’importe qui peut créer des cartes du genre, il est important de préciser aux jeunes qu’il faut être sélectif et qu’il faut choisir les informations les plus crédibles.

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Les TIC au service de l’amélioration du français : le CCDMD

Qu’est-ce que c’est?

L’acronyme CCDMD signifie Centre collégial de développement de matériel didactique. Bien qu’il s’adresse principalement aux élèves du collégial, ce site est tout à fait pertinent pour les élèves du secondaire. On y retrouve une panoplie d’exercices variés, souvent interactifs, qui offrent une bonne progression et qui sauront satisfaire les besoins  des novices comme des experts. Pour en apprendre davantage sur leur mandat, nous vous invitions à visiter leur page d’accueil à l’adresse suivante : http://www.ccdmd.qc.ca/?lang=fr

Comment l’utiliser?

Il vous suffi d’accéder  à l’adresse suivante pour arriver directement à la section destinée  à l’amélioration du français: http://ccdmd.qc.ca/fr/

Une fois sur le site, il ne vous reste qu’à choisir la rubrique désirée parmi les choix présentés dans la bande de gauche. Le premier onglet, «Matériel à imprimer», est une banque d’exercices gratuits, diversifiés et bien construits. Offerts en format PDF, ces exercices clé en main offrent aussi des explications de bases qui peuvent servir d’aide-mémoire. Le deuxième onglet, «Matériel interactif», regorge d’exercices des plus intéressants à faire en classe. Créés sous forme de jeux, ils sont aussi agréables à regarder qu’à faire et permettent de garder l’attention des élèves. Sur le plan didactique, ils sont très bien construits, puisque les réponses erronées sont expliquées de façon claire, ce qui permet à l’enseignant d’amorcer une réflexion métalinguistique avec ses élèves. Finalement, le troisième onglet, «Autres ressources», s’adresse aux enseignants et aux élèves qui veulent aller plus loin dans leur apprentissage. Le lien vers la rubrique Correspondance est très pertinent. On y retrouve plusieurs articles écrits par des didacticiens et autres spécialistes de la langue qui tentent de la démystifier.

Bien sûr, si vous disposez d’un tableau interactif, le tour est joué! Sinon, avec l’aide d’un ordinateur et d’un rétroprojecteur, c’est tout aussi facile, il suffit d’envoyer un élève à l’ordinateur pour rendre le tout encore plus interactif.

Comment l’intégrer à sa classe?

Le mot d’ordre des exercices du CCDMD est efficacité! Tous les jeux et exercices proposés sont simples à utiliser; les commandes sont instinctives. La section «jeux pédagogiques» est fort intéressante, tant pour les élèves que leurs enseignants. On peut tout simplement demander à un élève de venir à l’avant et d’inscrire les réponses proposées par ses collègues. Plusieurs jeux proposent une explication des erreurs qui peut servir de point de départ pour l’enseignant.

Une autre façon de procéder serait de se servir des jeux pour faire une compétition. L’enseignant reste alors à l’avant et lit un à un les énoncés, proposant les réponses à chaque fois. Les élèves, divisés en équipe de 5 ou 6, discutent à voix basse de leurs réponses avant de les inscrire sur une feuille. L’enseignant dévoile ensuite les réponses et demande aux élèves d’expliquer leur raisonnement.

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